Abstract
Le sacrifice ne semble pas être étranger à Israël, car les nations environnantes le pratiquaient. Il ne fait donc aucun doute que le sacrifice sanguin dans l’Ancien Testament pourrait être rattaché à des rituels et des repas de communion babyloniens, cananéens ou nomades anciens, selon le New Concise Bible Dictionary. La référence indue au sacrifice de sang de l’Ancien Testament est devenue une base contemporaine pour certaines activités clandestines dans notre société. L’objectif du sacrifice du sang dans l’Ancien Testament est donc primordial. Les études de cette nature ont une approche historique, théologique, descriptive et exégétique qui fait partie intégrante de leur produit final. Il convient à ce stade d’observer que certains des sacrifices de l’Ancien Testament n’étaient pas sanglants, mais la portée de cette étude est principalement axée sur les sacrifices sanglants de l’Ancien Testament. En outre, la nature symbolique et la signification des sacrifices sanglants dans l’Ancien Testament constituent le principal domaine d’intérêt de cette étude. Par conséquent, il devrait être consigné que l’utilisation ou l’abus du sacrifice sanglant, en dehors de la prescription de base de l’Ancien Testament, par tout mortel, devrait non seulement être mis en attente ou en suspens, mais aussi être carrément abrogé. Ceci parce qu’il s’agit d’une atteinte au caractère et aux prérogatives de Dieu qui l’a institué.